:56:00
- Franz !
- Maintenant je peux plus marcher !
:56:03
Tu dois te compter chanceux
de t'en tirer juste avec ça.
:56:12
Je voulais être forestier.
:56:16
Tu peux toujours. On fait
de bonnes jambes artificielles !
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Et puis, tu seras démobilisé.
Tu peux rentrer chez toi. Imagine.
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On t'a apporté des choses.
Tu vois ?
:56:28
Mets-les sous le lit.
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C'est une magnifique paire de bottes.
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Regardez-moi ce cuir !
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Quel confort !
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Je pensais.
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Si tu vas plus les utiliser,
pourquoi pas nous les laisser ?
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Elles te sont pas utiles ?
Je pourrais m'en servir.
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Mes bottes me font des cloques...
:57:06
On doit te laisser.
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Ne partez pas.
Restez un peu plus longtemps.
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- Je reviens tout de suite.
- On reviendra bientôt.
:57:16
Ça ira mieux, tu verras.
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- Au revoir.
- Au revoir.
:57:21
Vous pensez qu'il durera
jusque après le mess ?
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- Je ne pense pas...
- Il est fini !
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Les gars, continuez.
Je vous verrai plus tard.
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- Au revoir.
- D'accord, Paul.
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Je suis désolé, Paul.
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Je toucherais pas à un de ses trucs
s'il pouvait s'en servir.
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J'irais pieds nus sur les barbelés
si ça pouvait lui faire du bien.
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Pourquoi un officier d'ordonnance
devrait-il hériter de ces bottes ?
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Je comprends, Mueller.
On est tous pareils ici.
:57:53
Et les bonnes bottes sont rares.