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Et la lumière qui baisse...
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- Qu'y a-t-il?
- Viens!
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- Mais le numéro commence!
- J'en ai assez. Viens!
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C'est ça qui me fait croire
que je perds la tête.
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Allongée, je fixe la lampe à gaz,
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et j'entends quelqu'un marcher
là où on ne peut aller...
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Mais si, on peut y aller!
Par le toit d'à côté!
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- Que dites-vous?
- Tout concorde!
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Avez-vous déjà entendu
le nom de Louis Bauer?
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C'est un piège!
Je n'ai jamais vu cette enveloppe!
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Vous me mentez! Quittez cette maison!
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Que savez-vous de Louis Bauer?
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J'ai cru
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découvrir une enveloppe qui lui était
adressée, lors de notre emménagement.
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- Et tout a commencé...
- J'y suis! J'ai trouvé. Je vous ai sauvée!
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- Je suis un homme merveilleux!
- De quoi parlez-vous?
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Votre M. Mallen est mon M. Bauer.
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Un criminel qui a tué sa tante!
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Et qui cambriole sa propre maison la nuit,
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à la recherche de ces rubis
qu'il n'a pu trouver il y a 20 ans.
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À chaque fois, il allume le gaz
dans cette pièce, et l'intensité baisse ici.
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La lumière revient,
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et j'entends sa clef
dans la serrure juste après.
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Je ne puis le supporter. Ma pauvre tête!
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Vous ne perdez pas la tête, Mme Mallen.
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On vous pousse méthodiquement
vers la folie.
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Mais pourquoi? Par hasard,
vous avez découvert son nom!
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Vous êtes une menace pour lui.