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Monsieur Rick,
voulez-vous une tasse de café ?
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Non, merci, Carl.
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- Capitaine, puis-je. . .
- Pas maintenant.
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Venez demain à mon bureau.
On parlera affaires.
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- On y sera à 6 heures.
- J'y serai à 1 0 heures.
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Je suis très heureux pour vous deux.
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Etrange que vous ayez gagné.
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Enfin, peut-être pas.
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- A demain.
- Merci beaucoup, capitaine Renault.
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Patron, c'est magnifique
ce que vous avez fait !
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Ils sont fous, ces Russes !
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Je m'en doutais. . .
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vous êtes le parfait sentimental !
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Pourquoi vous mêlez-vous
de mes histoires galantes ?
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Appelez ça un geste d'amour !
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Je vous pardonne cette fois.
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Je viendrai demain soir
avec une blonde superbe.
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Et je serais très heureux
qu'elle perde !
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M. Blaine, je voudrais vous parler.
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Certainement.
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Pas ici.
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Ce que j'ai à vous dire
est confidentiel.
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Allons dans mon bureau.
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Vous savez qu'il est crucial
que je quitte Casablanca.
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Je suis un
des chefs de la Résistance.
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Vous savez ce que j'ai fait. . .
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et combien il est important
pour la vie de milliers de gens. . .
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que je puisse aller en Amérique.
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Je ne fais pas de politique.
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Je ne m'intéresse
qu'à ce qui se passe. . . dans mon bar.
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Mes amis m'ont pourtant parlé
de votre glorieux passé.
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Vous avez aidé les Ethiopiens. . .
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et les républicains espagnols.
- Et alors ?
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Toujours du côté des opprimés !
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C'est un dada qui m'a coûté cher.
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Je ne suis pas un homme d'affaires.
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L'êtes-vous assez pour accepter
1 00 000 francs ?