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A I'époque, on faisait de plus en plus
de films en Technicolor.
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Et c'était un vrai choix esthétique
de faire ce film en noir et blanc.
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C'est ce côté clinquant et festif
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du Technicolor,
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que mon père qualifiait
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de couleur du genre :
"Oh, quelle belle matinée".
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Il était convaincu
que I'atmosphère du film
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serait bien mieux évoquée
par le noir et blanc.
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Voici le thème musical
du personnage d'Elizabeth Taylor.
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Mon premier boulot pour le cinéma,
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je devais avoir 1 7 ans
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et je travaillais avec mon père,
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consistait à découper le roman
de Theodore Dreiser,
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qui doit faire
environ 400 ou 500 pages.
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Toute la première moitié du livre
se réfère au passé,
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à la jeunesse de George Eastman
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ou, dans le roman,
celle de Clyde Griffith.
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Dans le film,
toute cette première partie du livre
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n'est jamais montrée, mais seulement
évoquée dans de courtes scènes.