The Defiant Ones
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:08:00
Ces beautés ? Des dobermans.
:08:03
- Les chiens, c'est pas votre rayon.
- Pas cette race.

:08:06
Mes limiers mangeraient
même pas un hamburger.

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Mais ces beautés,
quand elles trouveront vos hommes,

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- elles en feront qu'une bouchée.
- On n'aura pas besoin d'elles.

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On a affaire
à de dangereux criminels, shérif.

:08:20
Comment ça, dangereux ?
Ils sont enchaînés !

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Écoutez, Muller.
:08:25
C'est votre première fois
dans ce domaine.

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Si vous tenez à faire dans l'humanitaire,
pensez aux fermiers et à vos assistants.

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C'est à moi de décider.
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Exact, mais on devrait prendre les chiens.
Moi, je dois penser à mes hommes.

:08:40
D'accord, mais qu'ils restent attachés.
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Détachez pas les chiens. Les laissez
pas courir, sauf si je vous le demande.

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Il y a des vieux habits
à l'arrière de la voiture de police.

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Le périmètre va être large.
Vos hommes ont foulé tous les alentours.

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Helmick, mets tout le monde dans la jeep.
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Je m'achèterai des chaussures en daim,
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un costume et une chemise de soie.
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Je serai le roi ! J'arpenterai les rues,
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un panama sur la tête
et une belle fille au bras.

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Vas-y, petit, t'as une main libre.
Vas-y, cogne !

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Petit ?
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Fini, les "Oui, patron."
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J'irai me cacher à Rio.
:09:40
Elle tient bon.
:09:45
Faudrait un burin et un marteau.
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- Allez, viens.
- Où ça ?

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- À Pineville.
- Dans le Sud ? Je vais pas dans le Sud.

:09:56
Je connais une fille, là-bas.
On pourra casser ça.

:09:58
Et après ? Un homme de couleur
dans une ville blanche !


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