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Pas autant que dans La leçon de piano,
mais ça prend un temps fou!
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On ne voit jamais vraiment la patrouille.
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Goldman, le scénariste,
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et George ont créé ce personnage.
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Cette patrouille est comme
une force omnisciente et invincible.
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lls bondissent hors du wagon.
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lls ne les lâchent pas d'une semelle.
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Dans la première partie du film,
ils croient les avoir semés pour de bon,
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mais les voilà qui débarquent
dans la maison close.
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lci, Newman essaye d'effrayer
les chevaux pour les faire partir.
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Les chevaux sont à l'évidence increvables
et dressés pour n'obéir qu'à leurs ma îtres.
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On voulait évoquer l'inéluctabilité
d'une civilisation moderne qui vainc le passé.
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On voulait montrer que cette patrouille
ne lâcherait jamais prise.
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C'était une journée ensoleillée.
C'est le soleil qui se reflète dans l'eau.
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On l'a développé en sous-exposant,
puis on l'a tiré.
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Je n'aime pas tourner en nuit américaine,
mais toute la scène a été réalisée ainsi.
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ll y a certains plans... Mais parfois,
le clair de lune peut être très lumineux.
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Ça m'a l'air crédible.
Ce n'est pas moi qui ai réglé ça.
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J'assombrirais d'un ton, quand même.