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Il tombe!
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C'est fini. C'est la fin d'EI presidente!
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Je vais essayer de parvenir jusqu'à lui,
si je peux avec cette foule,
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pour recueillir ses dernières paroles.
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Comme vous le voyez,
la foule ne plaisante pas.
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Elle est frénétique.
Elle essaie d'atteindre EI presidente
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au moment même où je m'y efforce.
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Laissez-moi passer, voulez-vous?
C'est la télévision américaine.
:02:40
Télévision américaine.
Laissez-moi passer.
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Nous arrivons, maintenant.
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Ça y est. Nous y sommes. Monsieur.
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On vous a tiré dessus.
Quand avez-vous su que c'était fini?
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Fasciste... dictateur.
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Vous êtes bouleversé.
Ça se comprend dans ces circonstances.
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Je suppose que vous devez
annoncer votre démission.
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Bonne chance, monsieur.
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Restez avec moi un moment,
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je vais essayer de parler
au nouveau dictateur du San Marcos.
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Si je peux traverser
cette foule bruyante et expansive.
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Vont-ils me laisser passer?
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Je vois le général au loin.
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Le nouveau dictateur
parle à l'un de ses hommes.
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Pardon. Excusez-moi, monsieur.
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Mon général. Mon général, félicitations.
Général Emilio Molina Vargas.
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Général, un mot,
s'il vous plaît, pour notre public.
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J'ai longtemps attendu ce jour,
mais maintenant, l'état c'est moi.
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C'est ce que vous dites
mais nombre de diplomates prétendent
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que vous restez
l'homme le plus haï de l'état.
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Je fermerai les journaux.
Je formerai mes soldats.
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On trouvera les rebelles.
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Ce sont des factions de la guérilla
démocratique cachées dans les collines.
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Non, monsieur. Nous les trouverons.