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Je trouve ce raisonnement
merveilleux.
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C'est là qu'on découvre
les deux côtés de chaque chose.
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Je veux qu'on soit mieux,
que tu sois mieux.
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Bien sûr je remue tout,
il le faut...
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jusqu'à ce que tu sois comme il faut.
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Personne ne croit en toi autant
que moi ou ne t'aime autant que moi.
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- Je le sais.
- Alors, pourquoi ?
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Et si je reviens, ce sera mieux,
comme par magie ?
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Qu'est-ce qui aura changé ?
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- On aura tout perdu.
- On ne peut pas gagner ?
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Elle l'a à l'usure et finit par
complètement le charmer...
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par ce besoin qu'elle a
qu'il devienne le meilleur.
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Il abandonne.
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Il abandonne et lui dit : "Tu gagnes.
Il n'y a personne d'autre comme toi."
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Comment lutter contre quelqu'un...
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qui désire si ardemment
le meilleur de vous-même ?
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Comment quitter une personne
qui vous aime tant...
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qu'elle pourrait vous tuer pour
obtenir le meilleur de vous-même ?
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Il renonce !
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Katie, tu demandes trop.
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Mais regarde ce que j'ai.
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On peut parfois abandonner la notion
de la durée réelle dans un film.
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Quand le spectateur est ancré...
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on peut abréger certaines choses.
C'est le but du montage.
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C'est une façon de dire...
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que des choses se sont passées,
dont le détail est superflu.
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Ce qui compte,
ce sont les conséquences.