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Quand j'ai vu cette première scène,
je me suis dit : "C'est magnifique.
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Une scène magnifique, splendide
photographie." Je me suis dit que...
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c'était peut-être le plus beau film que
j'aie jamais vu, et j'ai voulu le faire.
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La musique de suspense
qu'on vient d'entendre
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est dérivée du thème principal,
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mais elle est utilisée comme
ce que j'appelle un motif de basse.
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Ça apporte la tension
qui est présente dans ce duel.
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Puis ça devient une menace.
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La musique fait planer
la menace sur tout le film.
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Et elle donne le signal qu'ils vont
se retrouver et s'affronter à nouveau.
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Au départ j'allais écrire de la musique
ici, mais on a trouvé que c'était...
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si tendu qu'on n'en avait pas besoin.
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Mais on la fait entrer
au moment décisif.
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J'ai rencontré Ridley
à la fin des années 60, début 70,
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à une époque où j'avais
beaucoup de travail à Londres,
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à composer
pour toutes sortes de choses.