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Ce morceau est une sorte
de poème symphonique
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intitulé "La retraite de Russie
de Napoléon".
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Je l'ai écrit de façon assez moderne
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mais en essayant
de faire sentir le gel,
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I'immensité, les grands espaces.
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Avec ce très long motif que j'introduis
où les violons jouent très bas
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puis descendent dans un portamento,
ce glissement.
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C'est censé donner
une impression de désespoir.
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On sait que
600 000 hommes ont péri.