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M. Brubaker, il faut
regarder les choses en face.
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Les citoyens de cet Etat
ont du mal. . .
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à trouver du travail, à payer le loyer,
les primes d'assurances.
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Aux élections, s'ils votent
pour la réforme des prisons. . .
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c'est par pur réflexe.
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Ils ne veulent pas
qu'on augmente leurs impôts. . .
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pour entretenir
des tueurs et des violeurs.
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Cette ferme
ne coûtait rien à personne. . .
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avant que
vous ne mettiez la main dessus.
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Vous me suivez ?
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Pourquoi ne pas y installer
un golf ou un country-club. . .
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ou un golf miniature ?
Ou bien des bains moussants ?
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Pourquoi pas un toit
qui ne s'écroule pas ?
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Ca suffit !
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- Avec une assurance !
- Comment ?
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L'ancien toit
n'était pas assuré.
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Nous sommes assurés
pour des batteuses. . .
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des faucheuses, un tracteur.
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Il est normal d'assurer ces machines.
J'ai signé moi-même !
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Vous avez fait mieux ! Ce sont des
polices de votre compagnie.
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L'ennui, c'est que
ce matériel n'existe pas.
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Votre attitude,
M. Brubaker, est déplorable.
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Je ne vous aime pas
mais le problème n'est pas là.
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Je vous dis pourtant,
par égard pour Lilian. . .
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qui, je ne sais pourquoi
croit en vous. . .
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et j'insiste :
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où qu'elle vous ait pêché,
ne débarquez pas ici. . .
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en conquérant, nous apprendre
comment traiter notre prochain.
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Personne n'est payé ici,
sauf vous.
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Nous avons mieux à faire.
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Moi aussi.
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Mangeons un morceau
et calmons-nous.