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Les choses auraient été claires.
On nous aurait pas fait croire
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que quelqu'un pouvait sortir
de notre côte.
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Parce que rien ne sort
de notrecôte à nous. Vous voyez?
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Jamais.
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Tout justede notrequeue,
et encore...
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y a tout à faire après.
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- C'est sûr.
- Nous, ce qu'on sait fabriquer,
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c'est des buildings, des avions,
des voitures, tout ça.
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C'est utile, remarquez.
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J'ai fait unedemande
aux Eaux et Forêts.
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C'est même pas
qu'on a voulu nous le faire croire.
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C'est nous qui avons voulu
le croire.
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Il faut se rendre à I'évidence.
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Personne ne sort de notre côte.
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Je montais la colline
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Elle sortait du bois
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En robe des dimanches
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En jupe et guimpe blanche
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Nous marchionssous les branches
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Que les beaux jours
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sont court
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Elle était toute blanche
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Que les beaux jours...
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Demain, San Francisco.
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Tu diras bonjour au Pacifique
de ma part.
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Retour après-demain.
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Tu seras d'une humeur massacrante.
Le décalage horaire te détraque.
1:29:45
- Comment ça?
- Avant tu t'en foutais,
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maintenant,
le décalage, ça te tombe dessus.
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- Mais avant quoi?
- J'en sais rien, moi.
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Avant, c'est tout.
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- Ça me tombe pas du tout dessus.
-Y a plus deconfiture?
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Non.