The Bonfire of the Vanities
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:38:01
J'ai beaucoup investi sur vous, Peter.
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En temps et en argent. Pour rien.
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Je pourrais hocher la tête
en souriant, mais...

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chez moi, quand une crotte apparaît,
on balaie.

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On l'évacue, on tire la chasse.
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On ne la sert pas comme du caviar !
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Bien sûr. J'ai travaillé chez moi.
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Sur un papier... écoutez...
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je ne peux pas en parler, là,
mais c'est un gros truc.

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- Sur des pontes.
- C'est à espérer.

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C'est à espérer.
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Viens, Evelyn.
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C'était la fin pour moi. Je la voyais venir.
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C'était déjà là, oui !
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Ma chance,je l'avais
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noyée dans l'alcool.
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C'était fini. Il fallait voir les choses en face.
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Restait ma province.
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Petite ville. Petitjournal.
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Ou la possibilité d'écrire
un roman ou deux.

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Ou celle de m'ouvrir les veines.
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C'était encore le plus attrayant,
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car c'est ce qui réclamait
le moins d'efforts.

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Et là, le téléphone sonna.
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Peter ! Albert Fox.
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Oui, Peter à l'appareil.
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Quelle forme ! Ton cœur bat ?
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Aujournal, personne ne savait oü tu étais
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ni même qui tu étais.
Il y a anguille sous roche ?

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Non. Je travaille chez moi, aujourd'hui.
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Parfait. Parfait.
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Je veux te parler d'un truc.
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De quoi faire un sacré papier.
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Rendez-vous à NBC, studio 4H. 19h.
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T'as regardé la doc sur Henry Lamb ?

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