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et mes tripes me disent
que c'est simplement...
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merveilleux.
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Et quelles tripes charmantes.
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Chien !
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Je t'attendais à la table.
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Garland, tu m'abandonnes
avec ces gens-là ?
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Ne t'affole pas, j'arrive.
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Nous devons parler affaires.
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Je viens d'avoir Los Angeles.
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Capitol Pictures
veut te prendre sous contrat.
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lls proposent
mille dollars par semaine.
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Je pense obtenir deux mille.
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Pour quoi faire ?
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De quoi vis-tu ?
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Je ne sais plus três bien.
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J'essaie de faire autre chose.
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Je n'insiste pas
parce que je te respecte,
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mais un passage à Hollywood
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te donnerait les moyens
d'écrire plusieurs piêces.
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Je ne sais pas.
Ma place est ici en ce moment.
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Je suis à deux doigts du succês.
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Tu y es déjà.
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Non, Garland.
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Pas être adulé par les critiques,
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ni rapporter gros aux producteurs.
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Un vrai succês.
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Le succês dont nous avons rêvé.
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La création d'un théâtre
nouveau, vivant,
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de, sur et pour l'homme de la rue !
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Si je filais à Hollywood,
je ferais du fric,
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je rencontrerais les nababs, oui,
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mais je me couperais
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de la source de mon succês,
l'homme de la rue.
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Je me remets à pérorer.
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Tu as lu Caven, dans le Herald ?
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Non, alors ?
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Prends le mien.
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La coqueluche de Broadway,
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et tu peux en tirer
un peu de pognon,
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non, beaucoup de pognon.
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L'homme de la rue
sera toujours là à ton retour.