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il y avait des gens de l'Armée à Dallas,
ce jour-là. Qui et pourquoi?
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lls ne protégeaient pas un client.
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Et puis Oswald. Notre renseignement
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avait Oswald dans ses dossiers.
Tout a été détruit.
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ll se passait des choses, et votre Oswald
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n'avait rien à y voir.
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Le cabinet parti en Extrême-Orient.
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Un tiers de division, de retour d'Allemagne,
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survolait les Etats-Unis à l'heure du crime.
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A 12 h 34,
panne de téléphone à Washington,
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pendant une heure. Et dans l'avion
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qui rentrait à Washington,
la Maison-Blanche a informé
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Johnson qu'il n'y avait qu'un assassin.
Coïncidences, d'après vous?
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Bien sûr que non.
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Le cabinet à l'étranger : diversion.
Les troupes, pour mater des émeutes.
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Le téléphone coupé,
pour éviter des rumeurs en cas d'échec.
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Rien n'était laissé au hasard.
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ll ne fallait pas qu'il en sorte vivant.
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Rien n'a plus été pareil après ça.
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Le Vietnam a démarré pour de bon,
il y avait un air de...
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dissimulation, au Pentagone et à la ClA...
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Nous, les vétérans, on savait que
la Commission Warren était une fiction.
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Mais il y avait quelque chose...
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de plus profond,
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de plus moche.
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J'ai bien connu Allen Dulles,
sur de nombreux dossiers.
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Mais pourquoi le nommer
pour enquêter sur la mort
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de l'homme qui l'avait chassé?
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Au fait, Dulles était
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le bienfaiteur du général Y.
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Je suis parti en 64. J'ai démissionné.
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Je ne mesurais pas à quel point
Kennedy menaçait l'establishment.
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C'est ça, le pourquoi?
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Voilà la vraie question : pourquoi?
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Le comment et le qui ne sont là
que pour amuser le public.
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Oswald, Ruby, Cuba, la Mafia...