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descente olympique,
et ils ont du mal.
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Ils peinent à embarquer.
Je n'ai jamais vu ça.
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Ce n'est pas drôle,
mais quelle déconvenue.
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Ça y est. J'ai bien cru
qu'ils n'y arriveraient pas.
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Ç'aurait été une catastrophe.
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L'embarquement
est une affaire délicate,
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tous les équipiers doivent être vifs.
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La ligne droite leur cause du souci.
Ils ricochent comme au flipper !
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Le pilote, Derice Bannock,
n'a pas le contrôle de son bob.
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- Surveille tes propos.
- Ouais, fais gaffe à ce que tu dis.
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Ils doivent penser que ce n'était pas
une si bonne idée.
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Ils se cognent la tête.
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C'est en pantins désarticulés
qu'ils finissent la course,
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en 58,04 s,
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ce qui fait d'eux les bons derniers.
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Plantés.
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Vous vous êtes lamentablement plantés.
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Pourtant vous étiez prêts.
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Il faut peut-être revoir les virages.
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Vous les connaissez.
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Vous n'avez plus rien à apprendre.
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Je vais vous dire : le problème,
c'est que vous êtes incapables
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de vous décontracter.
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Là, je ne peux rien pour vous.
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À demain sur la glace.
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Pour se décontracter, les Suisses...
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Tu nous gonfles avec les Suisses.
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Déjà, le "eins, zwei, drei",
je suis sûr que ça nous stresse.
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J'essaie juste de trouver une solution
pour repartir du bon pied.
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Notre pied, c'est pas le pied suisse.
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C'est pas la peine de copier le style
des autres. On a le nôtre.
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Embrasser un uf,
t'appelles ça un style ?
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On est aux J-O,
pas à la course de pushcart.