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Qui était-ce?
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Le Capitaine Montoya?
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Non, ceIui
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qui vous a tabassé à ce point.
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Je ne Ie sais pas.
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Je ne m'en souviens pas.
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Parfois, ca vaut mieux.
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J'ai rêvé qu'on avait trouvé un trésor.
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Pour Ie trésor, on a déjà des pIans.
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Reposez-vous, docteur Romero.
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Du sushi à Ia microéIectronique,
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Ies Japonais sont des génies, non?
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Bien sûr.
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Toutes ces maisons, ces maisons ...
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Toutes ces maisons, cherjuge Diaz?
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Vous savez quand ca a commencé
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à aIIer maI pour eux? - Aucune idée.
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Depuis Ie 9 avriI 1948,
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quand Jorge EIiécer Gaitán
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a été tué.
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Ne m'interrompez pas.
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Excusez-moi.
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Dès ce jour,
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pour Ies gens corrects qui habitaient ici
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et qui vouIaient se rendre dans Ie nord,
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Ia confusion et Ie désordre étaient
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Ia raison de quitter ces maisons.
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Ceux qui sont restés en ont fait
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des Iieux de rencontre pour crimineIs.
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Vous vouIez Ies déIoger
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pour avoir à nouveau Ies maisons?
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Franchement, Diaz,
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je ne sais pas si Ia Casa Uribe peut être
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restaurée comme ouvrage architectonique,
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héritage nationaI ou monument historique
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de notre ancienne Bogotá.
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Ca m'est égaI.
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Ce qui est cIair et sans discussion,
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c'est que j'ai Ie droit de disposer de
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mon héritage famiIiaI, et Ia maison a
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Ie droit de voir son nom fixé par
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son propriétaire IégaI et non par