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Diello !
:48:12
Attention, Gina,
nous avons failli vous perdre.
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Pour vous !
:48:31
Vous pleurez.
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Ne soyez pas triste, Gina.
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Je ne t'ai pas fait mal, dis ?
:48:58
Il faut que je rentre.
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Je t'aime tellement !
:49:33
Il était une fois
les deux filles obéissantes
:49:37
D'un homme qui possédait
deux filles resplendissantes.
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On ne saurait imaginer,
même au coeur de l'ivresse,
:49:44
L'apaisante douceur
de leur tendre caresse.
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Et peu percevront,
dans ce monde barbare,
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L'exceptionnel génie
de ces deux perles rares.