When We Were Kings
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les drogués, les prostituées.
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Je pourrais aider les gens, leur
montrer des films, ce documentaire.

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Je donnerais du courage
à mon peuple, à Louisville,

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à Indianapolis,
à Cincinnati.

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J'irais au Tennessee,
en Floride et au Mississippi.

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Je leur montrerai les africains qui
ne savent pas que c'est leur pays.

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"Vous ressemblez à mes frères,
en Alabama, en Géorgie.

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"Ils ne vous connaissaient pas."
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Dieu m'a bénit,
et c'est un hasard,

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je peux aider en montrant
des films que je n'ai pas vus !

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Je vais bien
et je ne les ai pas vus !

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À présent, je peux tous les avoir,
les gouvernements

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peuvent me laisser filmer et
je rapporterai tout aux États-Unis !

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Mais ça fait du bien de gagner,
je n'ai qu'à battre Foreman.

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Je comprends que ce soit
malheureux et difficile

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pour vous, d'être venus ici
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avec tout cet espoir,
et d'être déçus.

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George Foreman était un phénomène.
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Une sorte de gourou physique.
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Il parlait peu,
mais il était captivant.

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Ses paroles étaient dures à suivre,
parfois profondes ou évasives.

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Il incarnait la Culture noire.
Il était une énorme force noire.

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Dommage que
Mohammed Ali ne soit pas là.

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Je lui en aurais collé une,
pour vous amuser.

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Tu verras qui je suis,
une fois sur le ring.

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Je dois le démolir.
Sans m'en rendre compte.

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Je le regarderai et je dirai :
"Comment j'ai fait ça ?"

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Je suis l'instrument d'Allah,
il m'a mis au service de mon peuple.

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Dieu l'a fait ressembler à un enfant.
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Je ne sens même plus ma droite !
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Je suis direct
parce que je pense à Dieu.

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Je pense à mon peuple libre,
que je peux aider en un seul match.


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