:27:02
Une vraie famille.
:27:04
J'étais en dehors...
:27:06
mais pas affectivement.
Je les aimais tous, et ils le savent.
:27:10
On n'était peut-être pas aussi forts
ensemble qu'on le croyait.
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Stoffer, putain.
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Axel fait le con,
il casse les vitres de la remise.
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Laisse-le casser les vitres.
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C'est de la merde bourgeoise ! Casser
doit faire partie de son idiot intérieur.
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ll y a aussi un homme !
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- Un homme !
- Très bien, Miguel !
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C'est ton oncle.
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Svend ?
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C'est ce qu'il a dit.
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- ll est arrivé quand ?
- A l'instant.
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- ll a vu quelqu'un ?
- Oui.
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- Vous faisiez les débiles ?
- Non, ils dorment tous.
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Dieu merci. C'est sa baraque, putain.
:27:54
C'est pas la tienne ?
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Si, si on veut...
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jusqu'à ce qu'elle soit vendue.
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Salut, Svend.
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Tu vois ces parquets...
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lls ont été cirés tous les jours...
pendant 50 ans.
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Tous les jours, mon vieux.
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Dis donc !
:28:23
- lls vivent ici ?
- Non.
:28:26
lls dorment là ?
:28:28
Je les ai invités
pour briquer un peu la baraque.
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Ce sont des pros...
des artisans qualifiés.
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lntéressant... je ne savais pas
que tu connaissais tant d'artisans.
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Quel snob ! ll y a plein de gosses
d'artisans dans les écoles privées !
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C'est Jeppe.
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ll s'occupe du jardin...
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et des dalles...
:28:56
- Ah, des dalles aussi ?
- Oui.