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Je suis le numéro un aux dominos.
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Au chant, c'est peut-être toi,
mais aux dominos...
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je suis le meilleur.
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On y va ?
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Non, on attend qu'ils nous appellent.
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Puntillita, Pío, au studio !
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Au moment où je lui flanque une pile,
il faut aller au studio !
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Tu en as gagné trois, moi deux.
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On continuera après.
Allons voir où en est la séance.
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Voyons quel morceau ils font.
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Tu vois, tu n'es pas de taille.
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- Donne-moi une chance.
- Quelle chance ?
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Fais pas le fanfaron.
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Je suis très heureux d'avoir pu
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m'impliquer dans ce projet,
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c'est moi qui ai coordonné
toutes les activités
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de ces grandes figures
de la musique cubaine, hélas
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presque oubliées dans ce pays.
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Des gens comme le pianiste
Rubén González,
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selon moi un des trois plus grands
pianistes de son
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de tous les temps,
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comme Ibrahim Ferrer,
un des plus grands chanteurs cubains,
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lui aussi lamentablement oublié
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pendant plus de dix ans.
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Et des gens comme Puntillita, Pío Leyva,
Compay Segundo, Eliades Ochoa.
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L'existence de cet album,
sur le plan artistique,
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a d'immenses répercussions
pour la musique cubaine.