:26:00
Nous sommes mariés. . .
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et jamais je ne te mentirais. . .
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ou je ne te ferais du mal.
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Sais-tu bien qu'en fait,
tu me dis. . .
:26:20
que si tu n'as pas baisé
ces deux mannequins. . .
:26:23
c'est par égard pour moi.
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Pas parce que
tu n'en avais pas envie !
:26:29
On se calme, Alice.
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Ce pétard te rend agressive.
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Non ! Ce n'est pas le pétard,
c'est toi !
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Pourquoi tu ne réponds jamais
franchement, merde ?
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Je croyais le faire.
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Je ne sais même pas
pourquoi on se dispute.
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Je ne me dispute pas.
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J'essaie simplement de savoir
où tu te situes.
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Où je me situe ?
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Disons par exemple,
qu'une créature de rêve. . .
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est dans ton cabinet, nue. . .
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et que tu lui tâtes les nichons.
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Ce que je veux savoir. . .
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c'est ce à quoi tu penses
quand tu les tripotes.
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Alice, je suis médecin.
:27:23
Tout cela est très impersonnel. . .
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et mon assistante
est toujours présente.
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Donc, pour toi, tâter des seins
n'est que pur professionnalisme.
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C'est ça ?
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Exactement.
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Le sexe est le cadet de mes soucis
quand j'examine une patiente.
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Et elle, quand elle se fait
tripoter les seins. . .
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crois-tu qu'elle ne fantasme pas. . .
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sur la quéquette
du beau docteur Bill ?
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Je t'assure que le sexe
est le cadet des soucis. . .
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de cette foutue patiente
chimérique !