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Je ne veux pas en batir une autre.
J'aime celle-ci.
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Je sais oú est l'arnica. . .
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je reconnais ton humeur
á tes sourcils.
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Tu sais que je suis lente le matin,
et tu t'adaptes.
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C'est une danse
que l'on parfait avec le temps.
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Et c'est dur.
Plus dur que je ne pensais.
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Mais il y a plus de bon que de
mauvais. N'abandonnons pas !
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Ce n'est pas pour les enfants.
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Mais ce sont des enfants
formidables, non ?
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Et on les a faits.
Rends-toi compte.
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Personne et soudain, les voilá.
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Et ils ont grandi et. . .
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Je ne pourrai pas dire á un autre :
"Josh a tes mains" . . .
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ou "Tu te souviens quand Erin
a gerbé au Lincoln Memorial ?"
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Et j'essaierai de me calmer.
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Soyons réalistes, tout le monde
á des cotés exaspérants.
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Pourquoi pas les tiens ?
Et moi, je suis pas un cadeau !
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Mais au moins,
j'ai le sens de l'orientation.
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Je ne critique pas le tien.
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Mais c'est un de mes atouts.
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Et puis tu es un ami.
Et ca ne court pas les rues.
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Charlotte le dit dans le livre. . .
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que j'adore te voir lire á Erin.
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Tu fais si bien la voix du cochon. . .
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meme quand tu es crevé.
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Ca en dit long sur le bonhomme.
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N'est-ce pas l'essentiel,
de quoi est fait un etre ?
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Parce que la fille
au casque de mineur. . .
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elle est toujours lá.
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J'ignorais son existence
avant de te rencontrer.
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Et si tu pars. . .
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j'ai peur de ne pas la revoir. . .
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meme si j'ai dit que tu la chassais.
Paradoxal, non ?
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On est en plein paradoxe, non ?
Donner-prendre, pousser-tirer. . .
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yin-yang, meilleur-pire.
Dickens l'a dit.
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Jack Sprat ne mangeait pas de graisse.
Sa femme, pas de maigre.