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provoquée par l'excitation
de la révolution officielle.
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Mais les tambours du militarisme
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essayaient toujours de noyer
le rythme de la poésie et de la vie.
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Quand je n'étais pas
à la bibliothèque,
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ou de garde,
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ou à une manifestation,
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il y avait trois choses
que j'aimais dans les années 1960.;
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ma machine à écrire,
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devant laquelle je m'asseyais
tel un concertiste à son piano.
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La jeunesse de l'époque,
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prête à rompre ses chaînes.
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Et enfin, la découverte
pleine et entière de la mer.