:38:00
Au revoir.
:38:20
Qu'est-ce que c'est que
cette chaleur horrible, Zezinho ?
:38:23
C'est comme ça que c'est bon,
cousin.
:38:26
- T'es jamais allé chez le barbier ?
- Moi non !
:38:29
Tu devrais y aller.
:38:33
Quand tu iras à la ville
pour chercher ta pension...
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n'oublie pas d'aller chez le barbier,
tu verras comme c'est bon.
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Tu parles que je vais à la ville !
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Celle qui va chercher la pension,
c'est Darlène.
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C'est elle aussi
qui fait les courses, cousin ?
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C'est sûrement pas moi !
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Elle se bat dans les plantations,
elle travaille à la maison...
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Et maintenant, me voilà à sa charge.
:39:03
Elle est encore jeune,
elle supporte bien.
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Mais c'est une femme, cousin !
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C'est nous qui devrions
être dans les plantations.
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ça lui est égal.
Une métisse de sa force !
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Les plantations,
ça lui fait du bien.
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Vu qu'ils refont des plantations,
je devrais me présenter, non ?
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Je peux pas rester à sa
charge, moi aussi.
:39:32
ça lui est égal.
Et c'est ma maison.
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Tu sais que chez ta mère
c'était moi qui cuisinais ?
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Raquel est ma soeur,
mais je vais pas la défendre.
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Elle a toujours été très paresseuse.
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Elle a même pas fait d'enfant
à Zuza, pas vrai ?
:39:56
Elle a même eu le courage
de dire que ça allait jaser...