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En fait, iI y a une scène
où iI est assis dans I'obscur. . .
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C'est très touchant.
II est dans Ie noir et. . .
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On voit ses Iarmes et tout.
Vous voyez, iI est compIètement. . .
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II est brisé, on Ie sent, vraiment.
C'est poignant.
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II bIague ?
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Non. Pourquoi ?
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C'est pas une bIague ?
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Non, je I'ai vu.
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- Pourquoi tu ris ?
- Vous I'entendez ?
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Si sensibIe. . .
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effondré quand iI s'agit
d'un Français grassouiIIet
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mais iI vous torpiIIe
Ie coeur dans Ia vie.
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Et Ià, pas de pitié.
Que daIIe.
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Car iI pige rien i
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Rien à rien i
Que queIqu'un m'expIique.
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Je ne sais pas
ce que tu racontes i
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EIIe est visibIe ?
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- Oui.
- Merci.
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Je suis désoIée, Diane.
Je sais pas ce qui m'a pris.
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Moi, je sais très bien.
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Ah bon ?
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Un mec t'a écrabouiIIée
sous sa botte. . .
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et tu t'es déchaînée sur Ray,
image du con qui t'en a fait baver.
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- J'ai raison, non ?
- PIus ou moins.
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Tu n'as pas Ie droit.
Même si tu souffres.
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Je sais.
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Non. Assieds-toi et écoute.