Stanley Kubrick: A Life in Pictures
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Il sortait du Bronx
et était intelligent.

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Il n'était pas très instruit, mais
c'était un excellent joueur d'échecs.

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Son intensité m'impressionnait.
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Je crois qu'il avait une idée
de là où il allait.

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Fear and Desire fut un exercice
de jeunesse.

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Kubrick retira le film
de la circulation. . .

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mais on le remarqua. . .
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et cela l'aida à trouver des fonds
pour son prochain film.

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Killer's Kiss révéla
son extraordinaire capacité. . .

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à jouer avec la lumière.
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Stanley faisait son deuxième film. . .
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et je voulais être le photographe
de plateau.

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Je voulais aussi voir
quelqu'un qui apprenait.

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C'était Stanley à une époque
où il n'avait pas un sou.

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Les vendredis, il renvoyait
la compagnie pendant deux heures. . .

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pour aller toucher
le chômage. . .

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parce qu'il vivait avec ces 30 $
par semaine.

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Ça lui suffisait à peine.
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Il était très ambitieux
et savait que cela aller l'aider.

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Un matin où on allait tourner
une scène. . .

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l'équipe était mal payée. . .
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tout le monde était
de mauvaise humeur.

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Chris Chase Sybil Taylor
Actrice Amie d'enfance

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Il a dit : "Prenons l'après-midi. "
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Je n'arrivais pas à le croire !
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Il m'a ramenée à la maison comme
toujours et je lui ai demandé :

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"Pourquoi êtes-vous
toujours aussi gentil ?"

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"Personne d'autre que moi ne va
retirer quoi que ce soit de ce film. "

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La sortie en salle de Killer's Kiss
attira l'oeil de James Harris. . .

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un nouveau producteur
qui avait des contacts financiers.


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