Stanley Kubrick: A Life in Pictures
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mais à la 3ème ou 4ème fois. . .
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j'ai compris l'intensité. . .
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du jeu de Jack Nicholson.
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Je ne crois pas que ce film
se veuille. . .

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un film d'horreur classique,
une vision réaliste. . .

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de pouvoirs surnaturels.
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Cela se passe en grande partie. . .
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dans la tête de Jack Nicholson.
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Bonjour, Lloyd.
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Très calme, ce soir. . .
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Oui, M. Torrance.
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J'aime ses films.
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Je n'ai pas besoin de réalisme. . .
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pour être satisfait en tant qu'acteur.
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Il me disait :
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"Dans un film. . .
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on n'essaie pas
de photographier la réalité. . .

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mais une image de la réalité. "
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Je savais qu'il ne s'agirait pas
d'interpréter un rôle défini. . .

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mais plutôt une sorte de danse.
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Une autre leçon a été :

"Regarde Jack. . .

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à ce moment-là,
le script dit que Jack n'écrit pas. . .

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Alors, que fait-il ?
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J'ai répondu que quand je me trouve
dans un grand espace vide. . .

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où on n'est pas censé être seul. . .
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je fais des choses
que je ferais dehors.

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C'est comme ça que je me suis retrouvé
à lancer cette balle de tennis. . .

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et c'est devenu un élément important
de la mise en scène.

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Elle roule partout. . .
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elle est lancée dans l'entrée. . .
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Et c'est avec ce genre de détails
qu'il développait. . .


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