Stanley Kubrick: A Life in Pictures
aperçu.
afficher.
signets.
suivant.

1:58:01
Mais sa vision de l'humanité. . .
1:58:04
était que nous sommes aigres-doux.
1:58:08
Il admirait. . .
1:58:11
la passion, le dévouement, la loyauté.
1:58:16
L'engagement, c'est le sujet
de Eyes Wide Shut.

1:58:20
C'est un film plein d'espoir.
On l'a perçu comme sombre. . .

1:58:23
mais il est plein d'espoir.
1:58:28
Il faut que je vous revoie.
1:58:32
- C'est impossible.
- Pourquoi ?

1:58:36
Parce que. . .
1:58:40
je suis mariée.
1:58:42
On trouve souvent ses films
impitoyables.

1:58:45
Pour moi, c'est une qualité.
1:58:48
Il nous décrit comme nous sommes,
sans espoir, confus. . .

1:58:52
faillibles, désespérés,
en quête d'amour.

1:58:58
C'est la première qualité
de ses films.

1:59:02
Ils parlent des hommes
tels qu'ils sont. . .

1:59:05
et non tels que nous les imaginons.
1:59:08
Il illustrait une vérité. . .
1:59:13
sur les relations de couple
et la sexualité. . .

1:59:15
pas de façon littérale. . .
1:59:19
mais plutôt théâtrale.
1:59:21
Les rues ne ressemblent pas
à New York.

1:59:24
Ca ne fait rien.

Regardez les noms des rues. . .

1:59:27
Ces rues n'existent pas à New York.
1:59:29
C'est comme si vous étiez
dans un rêve.

1:59:33
Cela ressemble à New York,
mais ce n'est pas New York.

1:59:35
Cela ressemble à votre femme,
mais ce qu'elle me raconte. . .

1:59:40
Est-ce que je veux vraiment savoir ?
1:59:43
Parce que je suis une belle femme. . .
1:59:45
la seule raison qui pousse un homme
à me parler. . .

1:59:51
c'est son envie de me baiser. . .
C'est bien ca ?

1:59:58
Ce n'est peut-être pas
tout à fait aussi simpliste. . .


aperçu.
suivant.