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n'est rien qu'une structure logique...
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un endroit où mettre momentanément
toutes les abstractions.
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Il était temps
de reprendre conscience...
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de donner forme
et cohérence au mystère.
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Et j'en avais fait partie.
C'était un don.
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La vie rageait tout autour de moi...
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et chaque moment était magique.
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J'aimais tous ces gens...
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faisant face à toutes
ces impulsions contradictoires.
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C'est ce que j'aimais le plus--
entrer en contact avec les gens.
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Rétrospectivement, il n'y avait que ça
qui importait vraiment.
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Les derniers mots de Kierkegaard
ont été, "Emportez-moi".