Standing in the Shadows of Motown
aperçu.
afficher.
signets.
suivant.

1:07:01
D'abord parce que Soupy Sales
était ce qui se faisait de mieux

1:07:05
avec Charlie Parker,
John Coltrane et Miles Davis.

1:07:07
C'étaient les meilleurs musiciens
qui jouaient dans l'émission.

1:07:12
Dizzie Gillespie,
des monstres sacrés du jazz.

1:07:15
Et Joe jouait avec ces types-là.
1:07:17
Il a fallu que je lui arrache les noms!
1:07:21
Le plus drôle,
c'est qu'on a retrouvé les images.

1:07:23
On a retrouvé des images de Joe
en train de jouer,

1:07:27
il assure méchamment.
1:07:29
On le voit en train de jouer un solo
1:07:33
et il est tellement brillant.
1:07:38
On comprend que
1:07:42
ce qu'il jouait pour la Motown
ne lui demandait aucun effort,

1:07:46
il était habitué à jouer des trucs
plus costauds techniquement,

1:07:50
quand il jouait du rhythm and blues
pour la Motown,

1:07:54
c'était un jeu d'enfant pour lui.
1:07:57
Maintenant, ils disent que c'est dur,
mais ils ont 40 ans de plus.

1:08:01
Eddie était un Funk Brother.
1:08:03
Eddie était sympa.
C'était un déconneur.

1:08:08
Les photos sont vraiment capitales.
1:08:11
On avait des tas de photos d'eux
1:08:14
et elles aident
à raconter les anecdotes.

1:08:17
On voulait que Joe
nous parle d'Eddie Bongo.

1:08:20
Joe Hunter se souvient de tout.
1:08:22
C'est le plus âgé et il a tout en tête.
1:08:25
Il se rappelait le poème qu'Eddie
avait écrit sur la mère de Jamerson.

1:08:30
Il n'est pas dans le film,
c'est trop cru.

1:08:32
Mais je vous récite le début.
1:08:34
"Le L&M arrive à Detroit"
1:08:36
C'était un train qui passait à Detroit.
1:08:42
"Dans le L&M,
il y a tous les amants de ta maman".

1:08:45
Et tout à l'avenant.
1:08:46
J'ai tourné ces images de Robert
dans mon studio,

1:08:50
on l'avait filmé pour récolter
des fonds pour produire le film.

1:08:55
Robert nous a quittés,
alors on a utilisé ces images.


aperçu.
suivant.