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J'essaie de ne pas m'embourber
dans des histoires compliquées.
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Pourtant, je jongle constamment avec
le monde de l'illusion et le monde du réel.
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Dans ce genre de films, les écrans
aident à se positionner et à comprendre.
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Les cartes, les hologrammes.
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Notre 2e décor, le Cérébro maléfique,
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était un Cérébro normal
qui avait été vieilli et transformé.
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Donc, on tournait au même endroit,
mais ça avait été réorganisé
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pour montrer que Stryker avait volé
des composants vitaux de l'infrastructure,
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puis les avait placés
dans un appareil de fortune
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qu'il avait construit lui-même
dans la base.