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Ensuite, dans X-2, reprendre cette
technique pour ponctuer certains moments,
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ça m'a paru libérateur.
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On peut faire des bandes complexes.
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En ayant un zoom, on peut passer
tout à coup d'une scène en plan large
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à un plan plus serré,
puis couper et monter tout ça,
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créant l'illusion
d'une caméra plus mobile,
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et de plus de mises en place qu'il ne
nous en a fallu, étant donné le délai.
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Ça nous a donné plus de flexibilité
et d'agressivité dans le tournage.
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Je crois que la différence entre
l'anamorphoseur et le Super 35
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diminue de plus en plus,
et devient imperceptible,
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depuis quelques années.
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Mais l'écran large, surtout dans un film
de groupe comme X-Men, est très utile.
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Au lieu de faire des changements de
plans, on peut éparpiller les gens sur l'écran.
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On peut vraiment utiliser l'espace,
etje trouve que c'est réussi, ici.
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Pour le prochain film, on exigera
le numérique, pour plus de flexibilité.
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On a fait un peu de numérique, ici.
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On peut régler des problèmes,
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faire ressortir des choses, recolorer,
même améliorer un visage fatigué.
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Le fait qu'un public regarde
ce film maintenant
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est un miracle, vu le court délai
qu'on a eu en postproduction
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pour faire un film qui avait
presque 900 effets visuels au début.
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- A la fin, il y en avait 1 000.
- Oui, sur 3 500 plans.
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Et quand on a commencé
la correction de couleur,
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on avait une semaine pour le faire,
il nous restait 450 plans.
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Donc, c'est incroyable qu'on ait pu
finir à temps et qu'il soit dans les salles.
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Dans de nombreuses salles.