:29:28
Je vois mon oncle.
Il est avec l'Américaine.
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Trop fardée et pas assez vêtue.
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Elle réveille ce qu'il y a
de pire dans un homme.
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C'est ce que les femmes font le mieux.
:29:40
On m'a dit qu'elle avait quitté New York
sans payer son hôtel.
:29:43
C'est vraiment scandaleux.
:29:45
- Qui ? Une connaissance ?
- Vous n'avez pas besoin de la connaître.
:29:48
Évitons-la.
:29:50
Elle accompagne Lord Augustus.
:29:53
Vous avez rencontré Mme Erlynne ?
:29:55
- Non.
- Mais, je vous ai vu.
:29:58
C'était votre pied ?
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Où trouvez-vous
des chaussures à votre taille ?
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Mes pieds sont en proportion parfaite
avec le reste de mon corps.
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Oui, bien sûr.
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Bien que parfois ils semblent
se trouver où ils ne devraient pas.
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Ces gens nous dévisagent.
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Qui ?
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Ne vous occupez pas d'eux.
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C'est la femme de mon frère
et son amie, Lady Plymdale.
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Lord Plymdale est mort l'année dernière.
Le foie, je pense.
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- Pauvre femme.
- C'est très triste.
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Ce doit être le chagrin
qui a fait virer ses cheveux au blond.
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C'est vrai, Erlynne.
Elle a eu des rentrées d'argent.
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- Je me suis occupé d'investir pour elle.
- Un héritage ?
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Tu te souviens ? La femme de la boutique
dont je t'ai parlée.
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Celle de la robe.
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Pas de dos et pratiquement rien devant.
On pouvait tout voir.
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Elle était indécente.
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Vous n'êtes simplement pas habituée
à la mode italienne, c'est tout.
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Je suis certaine
que votre épouse est à la mode.
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Mme Erlynne est une Jezebel notoire.
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Voilà un propos scandaleux
que je ne répèterai pas.