Edvard Munch
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:18:04
Mais, mon Dieu, je n'ai pas ri.
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J'ai trouvé beaucoup
de choses étranges,

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je dirais même dégoûtantes.
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Mais j'ai aussi vu
des tonalités délicates,

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presque trop émotives.
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Une chambre sombre inondée
de clair de lune.

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Des routes solitaires.
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Les mystérieuses nuits d'été
norvégiennes.

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J'avais l'impression d'entendre
le souffle mélancolique de gens

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confrontés à leurs problèmes.
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Aucun son ne sortait de leur poitrine.
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Ils restaient assis
sur le rivage, solitaires.

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Mon Dieu, je n'ai pas ri.
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Munch, fidèle à sa "vision",
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peint les nuages
sur le fjord de Kristiania

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comme il les voit et les ressent.
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Il explique que si les nuages
évoquèrent pour lui du sang,

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à cause d'une saute d'humeur,
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alors c'est ainsi
qu'il devait les peindre.

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Trimbalant avec lui
ses "Schmiererei anarchistes",

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Munch emménage
dans une chambre d'hôtel

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du quartier de
Charlottenburg à Berlin.

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Plus de 20 ans d'images
et de souvenirs emmagasinés

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sont sur le point de jaillir.
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Il ne manque qu'un catalyseur final.
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Au coin de la Neue Wilhelmstrasse
et de l'Unter den Linden,

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se trouve une taverne servant
plus de 900 sortes de liqueurs,

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surnommée "Le Cochon noir",

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