:15:03
et Ia sonnerie aux morts en mon honneur,
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si ce n'est pas trop vous demander.
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Beau, ce n'est pas trop demander.
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Je t'en organiserai quand tu voudras.
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Tante Patricia.
J'ai hâte de Iui dire pour Ia jambe de John.
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Sire John. Et vous, ne pipez mot.
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Les enfants,
je veux vous présenter un vieiI ami.
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Le Capitaine Henri de BeaujoIais.
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Henri, voici MichaeI Geste.
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- Enchanté, généraI.
- Et Digby.
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- Enchanté, généraI.
- Et John, Ie cadet.
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- Enchanté, généraI.
- Et IsobeI Rivers, ma pupiIIe.
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Voici Augustus Brandon,
Ie neveu de Sir Hector.
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Enchanté, généraI.
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John a reçu une baIIe,
Beau I'a retirée avec un canif !
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John !
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Ce n'est rien, tante Patricia.
Ça ne m'a pas fait maI.
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Faites-moi voir, John.
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Une superbe chirurgie !
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On ne ferait pas mieux
dans Ia Légion étrangère. LequeI est Beau ?
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C'est moi, généraI.
:16:05
Vous êtes très habiIe.
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Je suis très heureux
de vous avoir rencontrés.
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Au revoir.
:16:15
Dès que je Ie pourrai,
je m'enrôIerai dans Ia Légion étrangère.
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- C'est ce que je me disais.
- Moi aussi.
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Mais iI nous faudrait quitter tante Patricia.
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C'est vrai.
:16:28
Laissons tomber Ia Légion étrangère.
EIIe a besoin d'hommes pour Ia protéger.
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- J'aime votre famiIIe, Patricia.
- Surtout Ies Geste ?
:16:35
- Oui. Pourquoi ?
- Tout Ie monde partage cet avis.
:16:37
- Qui sont-iIs ?
- Des orpheIins.
:16:39
Trois jeunes hommes bien nés
que j'ai adoptés.
:16:42
Et Augustus est I'héritier de Sir Hector ?
:16:45
Si Sir Hector Iaisse un héritage queIconque.
:16:47
II a vraiment tout diIapidé ?
:16:50
- II ne reste que Ie saphir.
- Je suis navré, Patricia.
:16:53
Ce n'est pas pour moi,
c'est pour Ies enfants.
:16:56
Je veux Ieur donner un bon départ
dans Ia vie.
:16:59
Je me fais du souci pour eux.