Stalag 17
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:10:02
Tous les jours, á 6 h,
c'était l'appel.

:10:07
Chaque baraque
avait son réveil-matin.

:10:10
Le nôtre était le Feldwebel
Jean-Sébastien Schulz.

:10:15
Les Boches avaient eu, autrefois,
:10:18
un compositeur prénommé:
Jean-Sébastien...

:10:21
Mais Schulz n'avait rien d'un compositeur.
C'était une brute.

:10:26
Une brute épaisse!
:10:32
Ca suffit.
:10:36
Levez-vous pour l'appel!
Dehors, messieurs!

:10:44
Allez! Allez! Debout!
:10:51
Allez, les fainéants.
On arrête de râler et debout!

:10:56
La mitrailleuse a tiré, cette nuit?
:10:59
Terrible! Quelle folie!
De si gentils garçons!

:11:04
Ca me rend malade
rien que d'y penser!

:11:09
C'est l'heure de l'appel.
:11:13
Vous les avez tués?
Tous les deux?

:11:15
- J'en ai le cœur serré!
- Pas de boniments!

:11:20
Toi aussi!
Laisse cette musique!

:11:23
Ça va, Schulz. Vous savez bien
qu'il est pas bien.

:11:27
Il se fiche de nous, á faire l'idiot!
:11:30
Si vous aviez vu 9 copains
déchiquetés dans votre zinc?

:11:40
Vous n'allez pas rester couchés
par ce beau temps?

:11:47
Sprechen Sie Deutsch?
:11:49
Crevieren Sie... gueule ouverte!
:11:51
Toujours der mot pour rire!
:11:56
Debout Animal.

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