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Il était magnifique.
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Il ressemblait à sa mère, à son père,
aux tantes, à Moraldo...
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Il ressemble à mon professeur
de mathématiques ! Qu'il est vilain.
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Sandra était heureuse.
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Et un jour, en cachette,
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elle alla chez son beau-père,
pour lui présenter l'enfant.
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- Le café est sur le feu.
- C'est bien.
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Mon petit Moraldino,
pourquoi es-tu si gros ?
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Hier, il a dit "bleu".
Qui sait ce qu'il voulait ?
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Fausto a trouvé du travail ?
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Il me semble que oui.
C'est une question de jours.
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Excusez-moi.
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Je vais chercher le café.
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- Je vais y aller.
- Non, laissez.
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Je peux le prendre dans mes bras ?
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Fais bien attention,
ne le fais pas tomber.
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Moraldino, fais un bisou à ta tata.
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Donne-le-moi.
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Tu ne sais pas le tenir.
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Ce n'est pas comme ça.
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Je ne sais pas.
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- Et celle-là, la plus lointaine ?
- C'est Syrius.
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Il y a des gens qui y vivent ?
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Je ne crois pas.
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- Tu y vivrais, toi ?
- Moi, oui.
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Je t'assure.
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- Tu viens avec moi ?
- D'accord.
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Les nuits étaient plus douces.
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Le printemps s'annonçait déjà.
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C'est un grand nom
et un grand coeur.
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C'est lui. C'est un génie.
Écoutez bien.