Touch of Evil
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1:03:02
- Il est fou.
- Ils le prennent au sérieux.

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Je veux dire, Sanchez.
Tuer à la dynamite.

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Je t'ai déjà dit
la façon intelligente de tuer?

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Bien sûr. Par strangulation.
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- Propre. Silencieux.
- Tu m'as tout dit ça.

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Ma femme est morte comme ça.
Je ne parle pas d'elle d'ordinaire.

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Jamais quand tu es sobre.
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- Elle a été étranglée.
- Je sais.

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Un cordon d'emballage. Elle emballait,
donc le tueur en avait à sa portée.

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C'est habile.
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On ne laisse pas d'empreintes
sur un bout de corde.

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Barman, combien je dois?
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C'est le métis qui l'a tuée.
On le sait.

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Je n'étais qu'un bleu.
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Je l'ai filé.
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Je me suis morfondu
pour le pincer...

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mais je n'ai jamais réussi.
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Puis, dans un trou en Belgique,
le bon Dieu l'a eu pour moi. 1 91 7.

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C'est le dernier assassin
qui m'ait échappé.

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- Où vas-tu?
- À la réunion de Vargas.

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S'il veut jouer dur, d'accord,
ça se joue à deux.

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- Peut-être...
- Peut-être quoi?

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Peut-être qu'il croit vraiment
que Sanchez est coupable.

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Il n'y a pas de peut-être.
Hank Quinlan est un flic honnête.

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Il y a toutes sortes de flics.
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Je n'ai pas besoin de vous le dire.
Quelques-uns prennent des pots-de-vin.

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- Quinlan n'a jamais pris un dollar.
- La plupart sont honnêtes, oui!

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Mais même les honnêtes hommes
abusent de leur pouvoir.

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Entre, Hank.
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Eh bien, je ne sais pas
si je suis bienvenu ou non.

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Je veux que tu entendes ça.
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Je l'ai déjà entendu.
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Notre ami Vargas a des idées bizarres
sur la procédure policière.

1:04:50
Qu'importe qu'un assassin soit pendu
si on observe les règles.

1:04:55
On ne doit pas arrêter les criminels
comme des employés de fourrière.


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