:11:01
et ce sont les chefs de bande
qui ramassent tout.
:11:03
Ah oui? Quelqu'un contrôle la ville.
Chaque ville a un patron.
:11:07
C'est vrai,
mais quand il y en a deux...
:11:09
alors je dis qu'il y en a
un de trop.
:11:12
Deux patrons?
:11:14
Três intéressant.
:11:16
Intéressant, c'est le mot.
:11:18
Les Rojos, trois frêres
qui vendent de l'alcool.
:11:21
Et puis les Baxter,
de gros marchands d'armes.
:11:25
Si je ne me trompe pas,
tu les as déjà rencontrés, hein?
:11:30
Oui.
:11:31
Tu as de la chance. D'habitude
ils ne tirent pas que sur le mulet.
:11:35
Un homme quitte sa région
et cherche la moindre raison...
:11:38
Juan de Dios sonne le glas
et Piripero vend un autre cercueil.
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Deux patrons.
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Ils ont engagé toutes les crapules
rodant des deux côtés de la frontiêre...
:11:50
et ils paient en dollars.
:11:55
Les Baxter là-bas.
:11:58
Les Rojos là.
:12:01
Moi en plein milieu.
:12:02
Où tu fais quoi?
:12:05
Ce fou de carillonneur
avait raison.
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Il y a de l'argent à gagner
dans un endroit comme ici.
:12:10
Si tu penses ce que je suspecte,
n'essaye même pas.
:12:15
Quel côté est plus fort?
:12:18
Quel côté est plus fort?
:12:21
Eh bien, les Rojos,
en particulier Ramon.
:12:35
Don Miguel Rojo,
je veux vous parler.
:12:40
Don Miguel, j'entends dire
que vous embauchez.
:12:44
Je pourrais peut-être bien
être disponible.
:12:48
Je dois vous dire
avant que vous m'engagiez...
:12:53
que je ne travaille pas
pour rien.