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Absolument. C'était...
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De toute évidence, le but à I'origine
était de faire un film...
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Nous étions aussi, voyez-vous...
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Le thème de I'apartheid
était présent dans tous les esprits
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et dans notre quotidien
sur ce projet,
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tandis que nous préparions le film
les cinq mois précédant le tournage,
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nous allions à Pretoria
régler différentes choses,
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permis, autorisations
de toutes sortes, etc.
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Un administrateur bantou nous a
accompagnés dans le Zoulouland.
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De nombreuses restrictions étaient
imposées sur nos allées et venues.
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Au début, à Pretoria, ils n'aimaient
pas du tout le scénario,
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mais parce qu'on faisait un grand
film international en Afrique du Sud,
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ils nous ont donné leur autorisation.
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A I'époque,
les syndicats n'imposaient pas
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de restrictions sur le travail en
Afrique du Sud. C'est arrivé après.
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Mais y a-t-il eu une réaction hostile
en Grande-Bretagne ou en Amérique
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à cause du tournage du film
en Afrique du Sud?
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Non, on n'a jamais eu de problèmes
avec les Américains ou les Anglais.
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Ces bâtiments étaient évidemment
tous des plateaux
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que vous avez construits avant que
I'équipe de tournage n'arrive.
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Combien de temps
cela vous a-t-il pris?
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Ce plateau a été construit
indépendamment
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des habitats
et autres éléments zoulous.
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Mais on a mis environ quatre semaines
à le construire
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et deux ou trois semaines de plus
pour le kraal.
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Etait-ce uniquement des façades
sans plateau à I'intérieur?
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C'est ça,
il n'y avait aucun décor derrière.