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ou alors je cherche
à les convaincre de faire autre chose.
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Mais ce sont les acteurs
qui donnent vie aux personnages.
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Les directeurs de la photographie
ne font qu'interpréter leur jeu.
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George m'a laissé décider beaucoup
de choses. ll m'a fait confiance.
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On discutait toujours
de la façon dont on allait procéder.
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On est montés sur la colline et on s'est
demandé: ''Comment va-t-on s'y prendre?''
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J'ai suggéré d'alterner des plans
de grand ensemble et des gros plans
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de façon à accélérer
le rythme de l'ascension de la colline.
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Ça donne une notion de l'espace,
et ensuite on arrive au coeur du danger.
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ll appréciait ça. C'était une vraie
collaboration, un vrai dialogue.
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George n'a pas le dos très solide.
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Et il était là-bas, avec le train, et l'escalade...
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ou alors c'était juste dû au stress
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qui accompagne le début d'un tournage.
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Je montais la colline
avec Newman pour préparer un plan.
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Ça descendait à pic,
puis c'était plat sur 5 ou 6 mètres,
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et ensuite ça continuait à monter.
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Quand je suis arrivé en haut,
j'ai senti un spasme dans le dos.
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Ça m'est tombé dessus.
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J'étais paniqué car je savais
que ça m'empêcherait de marcher.
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Autour de moi,
je ne voyais aucun arbre auquel m'accrocher.
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Je cherchais un endroit
où je puisse étirer mon dos,
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pour éviter d'avoir un lumbago.
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Je courais et Newman
m'a demandé ce qu'il se passait.
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Je lui ai dit qu'il fallait
que je me suspende pour éviter un lumbago.
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ll a dit: ''Accroche-toi à moi.''
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J'ai mis mes bras autour de son cou,
on est tombés et Newman s'est mis à hurler.