:23:00
C'est idiot.
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Vous regarder manger,
c'est agréable.
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Pourquoi ?
:23:09
Je ne sais pas...
parce que vous êtes jolie.
:23:28
Après le dîner, nous avons marché.
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Je lui ai demandé
une boucle de ses cheveux.
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On n'avait pas de ciseaux.
J'essayais de les arracher.
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Quand elle était émue,
elle bégayait.
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Adorable !
J'aime une fille qui bégaye.
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Elle rougit, elle suffoque.
C'est charmant.
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Elle s'y connaissait en linge.
Elle était formidable.
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Je lui offris
de me laver mes caleçons.
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Cela la toucha.
Elle était très compétente.
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Jamais vu quelqu'un d'aussi calé.
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Un vrai génie en la matière.
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Ancré dans son mensonge,
Virgil revoit souvent Louise.
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Il évite soigneusement
de parler de violoncelle.
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Afin de mieux comprendre Louise,
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voyons un peu son milieu.
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Adoptée à l'âge de deux ans,
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par un militaire de carrière
et sa femme,
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elle connut, dès l'enfance,
une discipline de fer
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qui la rendit timide et renfermée.
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Elle habita les bases militaires