1:09:03
sauf qu'il ne peut ni parler
ni entendre.
1:09:07
Chapeau à l'homme
au surin dans le dos !
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Si c'était pas qu'il est mort,
il était pas fou.
1:09:12
Beau travail, Sam.
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J'espère que vous vous rendez compte
qu'il y a un meurtrier parmi nous.
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Pour l'amour des dames présentes...
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puis-je suggérer
de retourner au salon ?
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Mon fils va recouvrir
la dépouille de M. Twain.
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- Pourquoi je fais le sale boulot ?
- Parce que ta mère n'est pas ici.
1:09:29
Venez, je vous en prie.
1:09:46
Excusez-moi.
1:09:55
J'ai mal à la tête.
1:09:57
N'y a-t-il aucun moyen d'arrêter
cette machine ridicule ?
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Il y a peut-être un gadget
à côté de la fenêtre.
1:10:08
Désolé, ma chérie.
Il pleut cette fois.
1:10:10
Je suggère de nous mettre au travail
et de trier les faits.
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Il est minuit trente dimanche matin.
1:10:16
Les portes et fenêtres s'ouvriront
automatiquement à l'aube.
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L'un de nous s'enrichira
d'un million de dollars...
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et l'un de nous ira à l'échafaud.
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Un, M. Perrier ? Pourquoi pas deux ?
Nous avons tous des associés.
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Pourquoi pas quatre ou six ou huit ?
Je fais confiance à personne.
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Peut-être veut-on
m'en faire porter le blâme...
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mais je serai
le pigeon de personne.
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Pas même moi, Sam ?
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Pourquoi tu t'éprends pas
du Japonais et me fiches la paix ?
1:10:44
Pouvons-nous revenir à nos oignons ?
1:10:46
Le temps se fait tard
et mes paupières commencent à tomber.
1:10:50
- Je les croyais toujours basses.
- Cessez, Sam !
1:10:53
Excusez-moi. Cette affaire
me tombe sur les nerfs.
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- Je suis désolé, le bridé.
- Merci.
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Maintenant, les faits,
je vous prie, les faits.