:45:04
j'introduis des cors très discordants
sur ces deux autres éléments,
:45:08
Ie fracas caverneux du gong
et les violoncelles inquiétants.
:45:14
Les cors, c'est comme
leurs deux pouls qui s'accélèrent.
:45:20
Puis quand on les voit
sur le point de se taillader,
:45:24
je fais entrer ce son très crissant
des violons très aigus
:45:29
qui jouent à un demi-ton
les uns des autres
:45:32
d'une façon très stridente
et progressive.
:45:36
Tous ces éléments s'acheminent
vers un immense crescendo
:45:42
au moment où ils s'attaquent
:45:44
et où D'Hubert coupe
le haut de la tête de Féraud.