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Relève-le.
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Salut, le vendeur de caisses. Urizzi.
Tu te souviens de mon nom, maintenant?
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Comment l'oublier? Y a si peu
de Portoricains chez les flics.
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Pauvre con, je suis italien!
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Enchanté, abruti de Rital.
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Espèce d'enfoiré!
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T'es un petit rigolo, toi.
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T'as la langue bien pendue.
Tu pourrais t'en prendre une.
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Tu pourrais faciliter la tâche à tout
le monde. Mais non, tu fais le malin.
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T'es vraiment bon.
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Pas de violence, du vrai travail de pro.
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Je t'apprécierais sûrement.
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On pourrait aller voir des courses,
des matchs, des trucs comme ça.
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Tu peux arrondir les angles, rendre
les choses agréables pour tout le monde.
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C'est quoi, le problème?
Y a bien assez pour tout le monde.
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On sait ce que tu rafles.
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On sait que tu prépares un gros coup.
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Mais toi, tu fais ton couillon.
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Pour qui tu te prends? À quoi tu joues?
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T'as quelque chose à dire?
T'attends que je te demande de danser?
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Vous pensez jamais à bosser pour gagner
votre croûte, à monter vos propres coups?
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Qu'il aille se faire foutre.
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Je vais tellement te coller au cul
que tu vas faire une erreur.
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Et ce jour-là, je serai là.
1:12:55
Et vous regretterez d'y être.