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Comme s'il y avait
de quoi fouetter un chat.
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Et la vie de l'esprit ?
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Ça a été mieux.
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Je n'arrive pas à démarrer.
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L'idée, le truc
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qui fait embrayer...
je ne l'ai toujours pas.
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Je n'avais peut-être
qu'une idée en moi. Ma piêce.
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Peut-être qu'aprês,
j'étais fini comme écrivain.
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Je me fais l'effet d'un imposteur,
assis devant ce papier.
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Les deux tourtereaux d'à côté
te rendent cinglé ?
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Tu sais ça ?
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Je le sais ? C'est comme si
je les voyais à l'oeuvre.
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Ça, je dirais pas non.
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J'entends tout ce qui se passe
dans cette taule.
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La tuyauterie.
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Ça va marcher,
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ce scénario.
ll y en a, là-dedans.
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Comment dit-on ?
Où y a une tête, y a de l'espoir.
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"Où y a de la vie"...
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Tu vois ?
Le preuve que tu es écrivain.
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Pour toi aussi,
il y a de l'espoir.
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Demain, tu placeras
une demi-douzaine de polices.
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Merci, frêre.
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Mais je dois lever le pied.
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Tu pars ?
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Je vais sur tes terres, d'ailleurs.
New York.
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Ça cafouille, à la direction.
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Désolé, Charlie.
Tu me manqueras.
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Tire pas cette tête-là, vieux.
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C'est chez moi ici.
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Je reviendrai tôt ou tard.
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Et je te le dis,
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à mon retour, ton film sera terminé.
Je le sais.
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New York peut être cruel
pour les étrangers.
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Si tu as envie
d'un repas en famille,
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va voir Sam et Lillian Fink.
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lls habitent Fulton Street,
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avec mon oncle Maury.