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J'ai tout à fait le droit d'être ici
et vous le savez.
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- Si j'y reste, qu'allez-vous faire ?
- Je me fous de vos droits.
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Faites gaffe, vous me comprenez.
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Vous allez m'arrêter ?
Vous êtes flic ? Ou vous l'étiez ?
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Vous étiez trop mauvais pour le rester ?
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C'est l'impression que vous me faites.
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J'espére que votre déjeuner était bon.
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C'est à vous, madame ?
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- Je peux vous aider ?
- J'ai trouvé ça.
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J'ai pensé que ça pourrait vous servir.
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Sans vouloir vous effrayer,
si la fourriére trouve un chien sans collier,
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ils peuvent le prendre pour un chien errant
et lui faire Dieu sait quoi.
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Vous savez,
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notre chien est...
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- Il est mort.
- Quel dommage.
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Le meilleur ami de l'homme.
De la femme aussi.
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Même sans fermer les yeux, je l'imagine,
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gros, amical, touffu, endormi à vos pieds,
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vous tenant compagnie pendant que
vous finissez ces ennuyeux petits croquis.
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Vous êtes Max Cady, non ?
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Fichez le camp d'ici
avant que j'appelle la police.
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Je ne fais rien.
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Je vous rends le collier du chien.
Je ne suis pas chez vous.
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Vous êtes venu pourquoi, pour regarder ?
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Allez-y, regardez bien.
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Jolie maison.
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C'est une jolie maison.
Vous êtes content, maintenant ?
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Ou y a-t-il autre chose ?
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C'est ça ?
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Ce n'est pas fini, hein ?
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Vous n'arrêterez pas avant d'être content.
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Comment le serais-je
si vous ne l'êtes pas ?
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Vous ne savez rien de moi.
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- Je sais ce que je vois.
- Ah oui ?
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Je voulais vous voir.
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J'attendais de voir votre visage,
mais maintenant que je vous vois,
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vous êtes repoussant.