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quand la petite fille
cache le magot dans sa poupée.
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J'ai aussi énormément fait référence
à ce film dans L'échine du diable.
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Pour moi, c'est un des meilleurs
films de tous les temps.
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Cette scène aussi est très minimaliste,
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par choix et non par obligation.
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L'idée, c'était de commencer
sur un plan rapproché
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puis d'élargir pour montrer un type
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Iittéralement en train de
se masturber dans la salle de bain
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ou de se faire un shoot,
comme un héroïnomane,
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pendant que sa femme crie :
"Tu vas sortir, oui ?
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"Je dois m'habiller !"
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Ici encore,
à l'intérieur de la salle de bain,
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c'est le drame de la vieillesse
et de l'immortalité qui se joue
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pendant que, dehors, elle se plaint
que sa robe ne lui va plus.
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On voit qu'elle a beaucoup changé
en peu de temps.
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Cette scène est une référence à Hamlet.
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Il regarde la machine et se demande
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comment cette petite chose
peut lui faire autant de bien.
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Le jeu de Federico Luppi est parfait.
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Voici le plus beau plan
de l'intérieur de la machine.
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A l'arrière-plan, on voit le filtre
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qui sert à filtrer le sang
pour l'insecte.
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Ensuite l'insecte est censé chier
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et sa merde passe dans un autre filtre
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avant d'être injectée.
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Cette scène où se jouent en parallèle
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deux drames du vieillissement
- I'un superficiel, l'autre réel -
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est aussi celle où il remarque
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que son sang n'est pas du tout normal.
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Il en sort une substance
immonde et gluante.
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Voici une autre solution
de petit budget.
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A l'origine, on voulait fabriquer
un torse entier