Cronos
aperçu.
afficher.
signets.
suivant.

1:01:01
pour se protéger de la lumière du jour.
1:01:04
Il y avait une scène postérieure
où il fuyait la lumière,

1:01:08
mais c'était répétitif
et je l'ai coupée.

1:01:11
J'adore sa manière
de serrer la serviette

1:01:14
parce qu'elle a l'odeur de la maison.
1:01:17
Ici, on voit
1:01:20
que la petite est très triste pour lui.
1:01:23
Elle pense :
"C'est reparti pour une injection."

1:01:27
Pendant ce temps,
elle lui prépare un lit

1:01:31
dans un coffre à jouets.
1:01:34
Une des idées du film,
dans une première mouture du scénario,

1:01:38
c'était qu'elle le traitait
comme un jouet.

1:01:42
Ici, on voit bien les agrafes
et le costume à l'envers,

1:01:45
une pratique ridicule mais courante
lorsqu'on habille les cadavres.

1:01:51
Elle lui prépare un lit
du mieux qu'elle peut

1:01:54
et quand la lumière entre,
lui qui hésitait à s'y coucher

1:01:59
de peur d'être à l'étroit,
1:02:01
y entre quand même.
Et elle lui donne un nounours

1:02:05
pour qu'il se sente moins seul.
1:02:09
J'adore la musique ici.
1:02:11
C'est celle de Javier Alvarez,
1:02:14
un compositeur mexicain très doué.
1:02:18
Il a fait un travail fantastique
avec un budget dérisoire

1:02:22
et il a vraiment donné une âme au film.
1:02:27
Guillermo Navarro,
le directeur de la photo,

1:02:30
a travaillé sur beaucoup de films
à Hollywood après celui-ci :

1:02:34
Desperado, Stuart Little,
Une nuit en enfer, Jackie Brown...

1:02:40
On a retravaillé ensemble
sur L'échine du diable.

1:02:44
Ici, Aurora peint sur le mur
sa vision de ce qui se passe.

1:02:49
On ne voit que quelques éléments :
un soleil,

1:02:52
un homme qui rentre chez lui.
1:02:54
Je n'ai pas approfondi les détails
par manque de temps.

1:02:59
"Ecrire ces lignes
me demande beaucoup defforts."


aperçu.
suivant.